Who is Who pour BOBEA GLORIA: Miriam Makeba

𝓟𝓪𝓻 𝓜𝓪𝓻𝓵𝔂𝓼𝓮 𝓐𝓭𝓪

BOBEA célèbre les femmes excep­tion­nelles qui ont mar­qué notre époque par leurs réal­i­sa­tions, leurs pas­sions et leurs actions inspi­rantes. Miri­am Make­ba, surnom­mée “Mama Africa”, chanteuse sud-africaine et mil­i­tante anti-apartheid, incar­ne par­faite­ment cet idéal, méri­tant ain­si sa place dans notre série “Who is Who”.

BOBEA Glo­ria I : Les racines d’une icône

Zen­zile Miri­am Make­ba est née le 4 mars 1932 à Johan­nes­burg, en Afrique du Sud

 Son enfance est mar­quée par la pau­vreté et l’op­pres­sion de l’a­partheid. Dès l’âge de huit ans, elle aide sa mère à faire des ménages, dévelop­pant très tôt une con­science des injus­tices sociales

BOBEA Glo­ria II : L’as­cen­sion vers la gloire

Make­ba com­mence sa car­rière musi­cale dans les années 1950, rejoignant le groupe vocal Man­hat­tan Broth­ers en 1952

 Elle développe un style unique mêlant jazz, pop et musiques tra­di­tion­nelles sud-africaines. Sa par­tic­i­pa­tion au film anti-apartheid “Come Back, Africa” en 1959 mar­que le début de son engage­ment poli­tique et de son exil for­cé

BOBEA Glo­ria III : Une car­rière mul­ti­fac­ette

Make­ba devient la pre­mière artiste africaine à pop­u­laris­er la musique africaine dans le monde entier

Elle rem­porte un Gram­my Award en 1966 pour son album avec Har­ry Bela­fonte, devenant la pre­mière femme africaine à recevoir cette dis­tinc­tion

Sa chan­son “Pata Pata”, sor­tie en 1967, devient un suc­cès plané­taire

BOBEA Glo­ria IV : L’en­gage­ment human­i­taire et l’héritage

Mil­i­tante infati­ga­ble con­tre l’a­partheid, Make­ba utilise sa notoriété pour défendre les droits civiques et le panafrican­isme

Elle prononce un dis­cours à l’ONU en 1963, devenant la voix du mou­ve­ment anti-apartheid

 Après 30 ans d’ex­il, elle retourne en Afrique du Sud en 1990 à la demande de Nel­son Man­dela

𝓜𝓪𝓻𝓵𝔂𝓼𝓮 𝓐𝓭𝓪 : “Miri­am Make­ba incar­ne la résilience, le tal­ent et l’en­gage­ment. Sa voix puis­sante a non seule­ment enrichi le pat­ri­moine musi­cal mon­di­al, mais a aus­si été un instru­ment de change­ment social, faisant d’elle une icône intem­porelle de la lutte pour la jus­tice et l’é­gal­ité.

“BOBEA, novem­bre 2024

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