Ni des Babette ni des femmes à nénettes, des femmes. Simplement.

Les femmes sont per­dues. On veut nous trans­former en hommes, et faire de nos hommes,  des pseu­dos femmes,  un nou­veau genre entre hommes et femmes. Non et non. C’est orchestr­er de la  con­fu­sion à grande échelle, et nous ne l’acceptons pas.

Fières d’être belles et intel­li­gentes

A la télé, à 20h des pseu­dos femmes, avec des faciès et des manies des garçons man­qués  nous volent notre rôle  et  par­lent à la place des vraies femmes. On par­le pour nous encore et encore ! Je suis une femme, fière de mon genre, mais je ne suis pas sûre de vouloir être cette femme qui ressem­ble à un homme et se coiffe comme Mark, mon voisin. Je veux être une femme, qui se fait dra­guer, se fait aimer, se marie,  fait des enfants, qui reste belle, déli­cate,  fémi­nine.  Je veux pou­voir, porter des talons, me coif­fer comme Marylin Mon­roe, ou comme Bey­on­cé , tout en affir­mant ma « Women  atti­tude ».

Cela ne fait pas de moi une nunuche, ou une idiote écervelée. Être belle et intel­li­gente, c’est pos­si­ble. Et c’est ce que veu­lent les vraies femmes.

Andréa Mapuche , pour Bobea

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