Mandrina, une étudiante ivoirienne de 24 ans, partage son expérience bouleversante de la guerre en Ukraine et son parcours pour poursuivre ses études de pharmacie.
De Kiev à la Roumanie : un parcours semé d’embûches
« Je faisais des études de pharmacie en Ukraine. La guerre a bouleversé ma vie », confie Mandrina. Originaire de Côte d’Ivoire, elle décrit Kiev comme une ville « belle et accueillante » où elle se sentait bien avant le conflit.
Discrimination en temps de crise
Mandrina révèle une réalité troublante de l’évacuation : « Toutes les étudiantes n’étaient pas traitées de la même manière. Nous, les Africaines, passions à la fin ! » Cette expérience a remis en question sa perception de la démocratie européenne.
Un nouveau départ en Roumanie
Malgré le traumatisme vécu en Ukraine, Mandrina a réussi à reprendre ses études en Roumanie. « Aujourd’hui, je suis en Roumanie pour continuer mes études de pharmacie, et tout va pour le mieux malgré le traumatisme d’Ukraine », explique-t-elle avec optimisme.
Un avenir prometteur
Mandrina envisage l’avenir avec espoir : « Je finis dans un an si tout va bien ! » Son témoignage illustre la résilience des étudiants internationaux face à l’adversité et les défis auxquels ils sont confrontés en temps de crise.
Un message de solidarité
En conclusion, Mandrina souligne : « Je voulais vous dire que je suis une rescapée de la guerre en Ukraine et je ne suis pas seule. » Son témoignage met en lumière le sort de nombreux étudiants étrangers pris dans le conflit et leur détermination à poursuivre leurs rêves malgré les obstacles.