Dans une interview émouvante accordée à Frédéric Lopez pour l’émission “Un dimanche à la campagne”, l’ancienne mannequin Adriana Karembeu s’est confiée sur son enfance douloureuse en Tchécoslovaquie.
Une enfance heureuse brusquement interrompue
- Élevée par ses grands-parents jusqu’à 4–5 ans, période qu’elle décrit comme “le paradis”
- Arrachée brutalement à ce cocon familial lorsque ses parents viennent la récupérer après leurs études
Le début d’une relation difficile avec son père
- L’arrivée de sa petite sœur marque le début des problèmes avec son père
- Elle se sent rejetée et indésirable : “J’avais l’impression d’être vraiment la pire personne au monde de qui on voulait se débarrasser”
Des humiliations répétées
- Son père cherchait constamment à l’humilier et à la rabaisser
- Il la traitait régulièrement de “Bonne à rien”
- Il lui répétait : “Tu ne vas jamais rien faire de ta vie”
Le traumatisme ultime
- Son père lui aurait un jour dit : “Je ne t’aime pas”
- Adriana commente : “Quand on est un enfant, on a juste deux personnes qui sont censées nous aimer, donc c’est dur”
De l’enfant blessée à la femme accomplie
Malgré ces blessures d’enfance, Adriana Karembeu a su se construire et réussir sa vie :
- Une carrière réussie de mannequin international
- Des apparitions régulières à la télévision française
- Aujourd’hui mère d’une petite fille, Nina
Cette interview révèle comment les traumatismes de l’enfance peuvent marquer profondément une personne, même devenue adulte et célèbre. Elle souligne l’importance cruciale de l’amour parental dans le développement de l’estime de soi d’un enfant. Le parcours d’Adriana Karembeu montre cependant qu’il est possible de surmonter ces blessures et de réussir sa vie malgré un passé douloureux.