Elles se préparent pour les jeux olympiques de Paris

A quelques jours, dans presque 6 mois du grand rush sportif des jeux olympiques, nous nous sommes penchés sur des étu­di­ants qui sont déjà sur le front, pour pré­par­er les jeux ? A  la cité uni­ver­si­taire d’Antony, dans les Hauts de Seine,  du coté  sud  de la cap­i­tale française  ; nous avons trou­vé des étu­di­antes bien par­ti­c­ulières . Elles sont sur deux fronts : en cours pour pré­par­er leur diplômes et après  les cours, elles se ruent dans les stades pour s’entrainer.

On les appelle les guer­rières, cer­taines affir­ment men­er une vie  de « dingue ». Mary­lou n’essaye pas de jouer les dures ; elle nous avoue tout de suite ce que nous ressen­tions déjà : « je ne vais pas jouer les héroïnes de bd, toutes puis­santes. Je suis sur la brèche et il faut que je tienne ! C’est pas tou­jours facile pour moi ! »

Des sac­ri­fices et des risques à pren­dre.

« Etre à la fois une ath­lète de haut niveau et une étu­di­ante en médecine, n’est cer­taine­ment pas une sinécure. Je dois, tous les jours adapter les heures, les cours, les sémi­naires et les stages. À cote’, j’ai des engage­ments envers la république et mon pays ; je dois juste être à la hau­teur de ces défis. C’est par­fois fatiguant, je dors si peux ; mais, je crois que c’est la logique même des choses. On n’arrive à rien sans rien. Je dois con­tin­uer à me bat­tre. Parce qu’après le sport il y a l’après carrière…Et le méti­er. Il faut donc tenir et souf­frir un peu plus. » Nous n’en dou­tons pas. Mary­lou essaie de con­juguer une dou­ble exi­gence. Ce sont ces risques qui sanc­ti­fient les vic­toires et les podi­ums des  ces héroïne des temps mod­ernes.

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